mercredi 27 juin 2007

Entre nous

J'ai ton souffle dans le creux de mon cou
Tes mains dans le creux de mes reins
Il suffit d'un rien
Pour qu'une flamme s'anime entre nous


A la lueur de la bougie
J'apprends les courbes de ton corps
J'aime quand tu souris
Parle-moi encore, encore


Et quand la danse de la flamme s'arrête
Que le noir nous enrobe de douceur
Pour toi et pour tout je serais prête
Effeuille-moi comme une fleur


Pourquoi me passer de ta chaleur
J'aime sentir ton coeur sur mon sein
Enlace-moi, je n'ai pas peur
Je serais tienne si tu es mien


Et si la nuit ne nous suffit pas
Prolongeons la tentation
La vie attendra
Faisons monter et descendre la pression


Quand repus de nos deux âmes
Nous ne serons plus que deux êtres
Il y a toujours cette flamme
Il y aura toujours ma lettre.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Est-ce qu'il y a un message subliminal caché qui dit "je veux un calin !" dans ce poème ?

Lyrya a dit…

On peut tout comprendre dans un poème, c'est le but de la poésie, faire rêver sans jamais révéler la vérité...