mercredi 27 juin 2007

Entre nous

J'ai ton souffle dans le creux de mon cou
Tes mains dans le creux de mes reins
Il suffit d'un rien
Pour qu'une flamme s'anime entre nous


A la lueur de la bougie
J'apprends les courbes de ton corps
J'aime quand tu souris
Parle-moi encore, encore


Et quand la danse de la flamme s'arrête
Que le noir nous enrobe de douceur
Pour toi et pour tout je serais prête
Effeuille-moi comme une fleur


Pourquoi me passer de ta chaleur
J'aime sentir ton coeur sur mon sein
Enlace-moi, je n'ai pas peur
Je serais tienne si tu es mien


Et si la nuit ne nous suffit pas
Prolongeons la tentation
La vie attendra
Faisons monter et descendre la pression


Quand repus de nos deux âmes
Nous ne serons plus que deux êtres
Il y a toujours cette flamme
Il y aura toujours ma lettre.

mardi 26 juin 2007

Mon appartement et moi

J'ai une relation saine avec mon appartement, jamais aucune dispute (sauf pour ma fuite, qui ne sera pas réglée avant une semaine, si ce n'est un an --'), on pourrait être un couple parfait si je n'étais pas aussi "jmenfoutiste"... Un an de vie commune, on finit par s'attacher, c'est normal, mais c'est vrai que je ne lui fais pas de cadeaux.
Quand j'ai emménagé, j'étais en foufelle (traduisez : super contente, méga trop de la boulette...), j'ai passé des journées entières à Ikea avec ma soeur (on est de vraies folles quand on est ensemble et encore pire quand il s'agit de dépenser l'argent qu'on a pas). Un nouveau lit, bien grand pour que je puisse dormir en diagonale, un tableau que je rêvais d'avoir depuis des mois, des babioles par douzaine, bref le pied intégral ^^. Sauf que j'ai complétement zappé le rayon luminaire et j'ai toujours les ampoules avec le domino bien apparent sur mes murs (remarquez, ça donne un style, c'est un peu ma marque de fabrique). Mes appuis de fenêtres ressemblent plus à des étagères en bordel qu'autre chose, entre ma plante, ma lampe et toutes les petites conneries qu'on ne sait jamais où mettre, je ne vois plus dehors. Ma cuisine (enfin si on peut appeler ça une cuisine) n'est jamais nickel, toujours de la vaisselle en attente ou pas rangée, j'y passe si peu de temps, finalement c'est pas grave... Si ?
Ma chambre est l'endroit que j'aime par-dessus tout : un oasis, un paradis, la seule pièce d'une maison où le mot d'ordre c'est DORMIR. Couettes, coussins, matelas accueillant, quand vient l'heure de pioncer sans état d'âme, c'est un délice de se jeter dans les bras de Morphée.
Ce qui me gène un peu plus au fond, c'est qu'il me reste encore des cartons du déménagement... Ca sert à cacher tout ce qui ne doit pas être visible mais comme tout le monde fait ça, à la fin, on sait bien qu'on a plein de bordel et qu'on est une feignasse née.

Pour son prochain Noël, promis, je lui offre un relooking complet, mais là c'est l'heure du goûter.

lundi 25 juin 2007

Ca n'arrive qu'à moi

J'ai déjà du mal à ranger mon appart' (qui est un bordel sans nom, des trucs inutiles dans tous les coins), j'avais prévu de faire mon grand ménage de printemps (avec moultes péripéties comme les vitres à laver, la salle de bain à nettoyer du sol au plafond, tenter de mettre de l'ordre dans ma penderie et enfin retrouver mon t-shirt préféré...) mais le Grand Tout, avec son incroyable faculté à pourrir la vie des Hommes, en a décidé autrement : "Tu passeras ta nuit à frémir au son de la goutte qui tombe du plafond !!"

Je ressitue l'action, après une soirée et une partie de la nuit passée devant mon écran d'ordi, les yeux explosés comme ceux d'un hamster trop câliné par un gamin psychotique, je me dirige lamentablement vers ma chambre, prête à savourer la douceur de ma couette *bave*. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je vis mon faux parquet luire étrangement, un coup d'oeil et des cris stridents plus tard, je vis la monstruosité : une fuite au plafond, pas la petite qui fait une petite tâche, qu'on finit par oublier et qui se résorbe d'elle-même, NOOOOOON ! une épouvantable fissure bien apparente, des gouttes toutes les 7 secondes (j'ai chronométré) et mon échiquier du Seigneur Des Anneaux trempé... J'aurais bien bousillé le plafond avec mes petits poings rageurs et vengeurs si je n'avais pas eu le courage de sauver mon échiquier du désastre, je l'ai soigneusement cajolé et mis au sec, avant de revenir rouge de rage (je ne suis pas Hulk et le vert ne me va pas très bien au teint).
Me voilà donc à quatre pattes, à 4h du matin passé (les pervers, on se calme, on respire et on ne fait aucun commentaire), entrain de sauver les meubles, avec mon petit seau, mon éponge et tout mon courage pour ne pas pleurer sur ma vie de misère.

Ça n'arrive qu'à moi ce genre de choses, déjà quand j'habitais à Lille, j'ai eu deux fuites en moins d'un an --' soit je choisis mal mes appartements, soit le Grand Tout a un dentier contre moi... Je vais devoir passer ma semaine à guetter l'artisan qui doit passer, me le coltiner toute la journée (j'avais rêvé mieux comme présence masculine dans ma chambre >_<) et je ne parle pas de mon ménage que je vais devoir refaire... Je hais le Grant Tout...

vendredi 22 juin 2007

Toutes ces choses que je rêve d'avoir...

Je ne suis pas encore milliardaire, mon découvert ressemble à la fosse des Mariannes et mon appartement est trop petit pour contenir la salle de cinéma que j'ai toujours rêvé d'avoir. Mais tout ça ne m'empêche pas de rêvasser sur tout ce que je pourrais m'offrir...

Je veux un MacBook : je suis habituée aux PC, depuis toute petite je pianote joyeusement sur leurs claviers, mais au cours de mon BTS, je suis tombée amoureuse de l'univers Apple. Quoi de plus jouissif que de se dire que l'on peut avoir tous leurs produits ainsi que tous les PC possibles et imaginables !! C'est décidé, la semaine prochaine, je gagne au loto...

Je veux partir en Nouvelle-Zélande : c'est mon rêve, depuis près de 5 ans, je trépigne pour pouvoir me payer le billet d'avion. Si ça se trouve, je m'installerais là-bas, j'élèverais des kiwis et je me marierais avec un joueur de rugby. AAAaaahhh c'est bon de pouvoir imaginer une vie meilleure ailleurs...

Un écran plat : ma télé étant aussi grande que l'écran de mon portable, quand je regarde le Seigneur des Anneaux, j'ai plus l'impression de voir Arthur et les Minimoys... Je rêve d'avoir un de ces écrans géants qu'on voit dans les documentaires à propos des maisons du futur : un écran de 3m dans le salon, un autre dans la chambre (quoique je suis contre le fait de regarder la télé au lit, c'est un tue-l'amour d'une rare violence) et encore un dans la salle de bain en face de la baignoire.

Un appartement bien à moi : le problème de la location, c'est qu'on ne peut pas faire tout ce qu'on veut. J'ai exactement le plan de mon futur appartement (ou maison mais toute seule, c'est pas folichon...), avec un salon gigantesque pour pouvoir profiter pleinement de mon écran plat, un canapé grand luxe débordant de coussins, deux ou trois chambres pour les amis, une salle de bain immense avec jacuzzi et douche assez grande pour tenir à 12 dedans (pas d'allusions vaseuses, merci). Bref, une salle de jeux géante ^^

Une voiture de mec : pourquoi les hommes seraient les seuls à pouvoir conduire des voitures de rêve ? Moi aussi j'adore les voitures, même si je n'ai pas le permis --' Entre la Mercedes SLR et la nouvelle Honda Civic, mon coeur balance. Moi qui, d'habitude, ne porte pas un grand intérêt au physique, j'avoue que c'est leur carrosserie splendide qui m'a fait fondre...

Une garde-robe automatique : ne plus avoir à affronter le regard meurtrier de la vendeuse quand un jean vous fait des fesses de mammouth, voilà ce que je cherche. Je veux ouvrir ma penderie le matin et voir que tout est bien rangé, repassé et beau de préférence : j'aime bien les fringues mais je n'aime pas la mode (c'est quoi cette idée de mettre une jupe avec un pantalon affreux au possible ? Et ces fringues qui ressemblent aux rideaux de ma grand-mère ?) et mes virées shopping sont assez rapides, un coup d'oeil de trentes secondes et je sais déjà que je ne trouverai rien dans le magasin. Entre un styliste personnel et une couturière qui me ferait tout ce que j'aime, je me tâte...

Un corps qui évacue automatiquement toutes les graisses : j'adore la nourriture, surtout ce qui n'est pas diétique. Je peux me baffrer de chocolats et de chips toute la journée mais mes poignées d'amour détestent (toujours entrain de râler celles-là --') et je suis assez en froid avec le sport (enfin, ça dépend...). Je devrais surveiller mon poids en permanence ? NON ! Marre des stéréotypes, mon corps je le love et il me le rend bien.

Mais le plus important, ce que je ne peux m'offrir avec de l'argent : un homme pour partager ma vie (et hop ! je finis sur une note romantique).

mercredi 20 juin 2007

Pour ne pas vivre seul

Pour ne pas vivre seul
On vit avec un chien
On vit avec des roses
Ou avec une croix
Pour ne pas vivre seul
On s'fait du cinéma
On aime un souvenir
Une ombre, n'importe quoi
Pour ne pas vivre seul
On vit pour le printemps et quand le printemps meurt
Pour le prochain printemps
Pour ne pas vivre seul
Je t'aime et je t'attends pour avoir l'illusion
De ne pas vivre seul, de ne pas vivre seul

Pour ne pas vivre seul
Des filles aiment des filles
Et l'on voit des garçons épouser des garçons
Pour ne pas vivre seul
D'autres font des enfants, des enfants qui sont seuls
Comme tous les enfants
Pour ne pas vivre seul
On fait des cathédrales où tous ceux qui sont seuls
S'accrochent à une étoile
Pour ne pas vivre seul
Je t'aime et je t'attends, pour avoir l'illusion
De ne pas vivre seul

Pour ne pas vivre seul on se fait des amis
Et on les réunit quand vient les soirs d'ennui
On vit pour son argent, ses rêves, ses palaces
Mais on a jamais fait un cercueil à deux places
Pour ne pas vivre seul
Moi je vis avec toi, je suis seule avec toi, tu es seul avec moi
Pour ne pas vivre seul
On vit comme ceux qui veulent se donner l'illusion
De ne pas vivre seul.

Tourist, ATHLETE

mardi 19 juin 2007

Fais-mi un bécot tio' biloute !

En pure nordiste que je suis, je me suis dit qu'un petit article sur ma région d'amour ne ferait de mal à personne. Aux yeux des autres (les impures...), c'est un territoire triste et peu accueillant, tout ça parce qu'on a pas beaucoup de soleil et qu'on aime les frites (oui, il y a encre des fritophobes dans notre société, je sais, c'est horrible...)
Hé bien non, nous ne sommes qu'amour et joie, j'en ai marre qu'on nous prenne pour des bouseux... Je prends donc mon petit porte voix et je crie bien fort dedans :

Premièrement : il ne pleut pas toujours, c'est une vue de l'esprit. C'est juste de l'humidité, de la vapeur d'eau, de la condensation et ce qui est bien, c'est qu'on profite à fond du soleil (quand y en a). Hummm un petit weekend à Dunkerque pour profiter des rayons chauds ^^. Quand il pleut, ben... bon okay, on se fait chier comme tout le monde...

Deuxièmement : il n'y a pas que la bière et les frites dans le coeur du Ch'timi pur souche. Nous vous proposons ce soir en entrée : une carbonnade flamande ou un croquant de camembert aux pommes. Vous pourrez vous délecter en plat d'une tarte au maroille ou d'une tarte à la bière. Vous aurez le choix pour le dessert entre une tarte au sucre et un Ch'ti Ramitsu. Personnellement, je suis un régime très strict qui m'oblige à ne manger que des frites (d'autant plus que tout ça ne m'inspire pas grand chose... mon deuxièmement coule donc comme un parpaing au fond d'un lac, lamentablement...)


Troisièmement : notre accent n'est pas moche. La pire insulte que vous puissiez faire à un Ch'ti, qu'il soit picard, flamand ou autre, c'est de lui dire qu'il ne sait pas parler correctement le français : vous goûteriez très probablement à "la tarte din t'gif". De plus, je ne veux pas créer de polémique mais entre l'accent du gars du sud qui fait snob au possible et celui du parisien qui pioche un peu partout pour se donner de la contenance, on peut dire que nous avons la chance d'être totalement nous-mêmes (et puis même si vous n'aimez pas mon accent, je compense par un physique de rêve...)

Quatrièmement : il est vrai que niveau vacances, on n'attire pas vraiment : pas de montagne (l'hiver on skie à plat ou sur les terrils pour donner un peu d'élan), des plages désertiques pour cause de fraîcheur atmosphérique (mais en même temps, on peut changer de maillot sans passer pour un boubourse avec la serviette en guise de cabine ou courir nu sur la plage ^^ je sais, j'ai l'esprit tordu). Ça change du Sud quand même, on peut se mettre où on veut sur la plage, on risque pas de se prendre en pleine couenne le ballon du sale moutard d'à côté.

Bon, sur ce, je vais faire ma vaisselle qui attend depuis trois jours (je suis une grosse flemmarde et en plus on me retient une bonne partie de la nuit sur mon ordi... c'est honteux mais j'adore ça :p)

Ah, pour les images, vous les retrouverez en T-shirt sur ce site.

lundi 18 juin 2007

Je trouverais jamais

C'est une certitude, j'ai mis du temps avant de m'en rendre compte, je croyais que ça pouvait encore s'arranger mais non, c'est la loose... La vie, ça craint du boudin...

J'en ai connu des galères, je pensais que, cette année, le sort allait arrêter de me lancer des boulets, que j'allais enfin pouvoir souffler et profiter mais y a l'air que ça lui plaît à ce tordu. Depuis ma dernière relation pourrie, je m'étais dit "Ma chère, plus jamais tu ne t'attacheras à ce qu'on appelle un enfoiré affectif"... J'ai pas eu le choix finalement puisque j'ai rencontré personne que je puisse qualifier d'attachant, y en a eu des lourdaux, y en a eu des lubriques qui ne regardent pas plus haut que mon décolleté... Mes certitudes concernant les hommes se sont accrues, tous les mêmes sauf exceptions (et bizarrement je suis jamais tombée dessus --')

Je ne suis pas un monstre (comment ça, "si" ??), mais aux yeux des autres à quoi est-ce que je ressemble ? L'image que j'ai de moi est-elle identique à celle que les gens ont ? Quand je mets mon cerveau en mode réflexion intense, je cherche à savoir pourquoi je me renferme autant dans mon monde, dans cette bulle dorée où tout va bien et où rien ne peut m'atteindre. Mais cette manie me ronge car je prends tout à coeur et une poussière peut vite devenir une montagne. Je me suis isolée du reste du monde pour ne plus ressentir cette douleur au fond de la poitrine quand celui que vous aimez vous dit que vous n'êtes plus rien. Je devrais m'ouvrir aux autres, je devrais essayer de retrouver cette joie de vivre qui était mon plus grand atout il y a 4 ans.

Je ne veux plus sentir mon coeur se déchirer, je hais la sensation que mes entrailles vont sortir de mon corps. J'ai mis tant de barrières entre le monde réel et moi, mais au fond la vie a-t-elle encore quelque chose à m'offrir qui vaille le coup que je me batte ? Je ne veux plus me lier à quelqu'un pour me que l'on m'arrache le coeur, je sais qu'un jour je rencontrerais celui qui me tendra la main pour me montrer que j'ai tord. Mais à ce moment précis, je sens que je ne trouverais jamais.

dimanche 17 juin 2007

Quand je serais grande...

Quand on est petit, on croit très fort à ses rêves, on croit vraiment qu'on va devenir des agents secrets méga cool, qu'on va être le meilleur pompier de tous les temps, qu'on aura le diplôme de prof le plusse génial... Mais que nenni ! Nos parents auraient dû nous dire que ça marche pas comme ça et qu'on finit par avoir un boulot juste alimentaire et que nos rêves on les garde dans un coin de notre tête et qu'ils nous sont inaccessibles (pour la plupart des gens, j'entends, y en a qui ont du bol et qui jouissent égoïstement d'un métier qu'ils kiffent depuis leur berceau).
Petit tour des jobs que j'aurais kiffé dans mon corps (oupss ! Nioutaik m'a contaminée ^^) :

Paléontologue : ça, c'est de la faute de ma mère, je lisais pas des Martines quand j'étais petite et que j'avais une affreuse frange, je lisais des encyclopédies que je chopais dans la bibliothèque familiale, j'ai toujours adoré l'idée de chercher des nonosses dans la terre (ça, c'est un bon trip de gamin de jouer avec de la boue, de la terre et tout plein de trucs bien crades qui font criser les parents)

Astronaute ou astrophysicienne : je sais, j'ai pas suivi le schéma classique de la fifille à sa môman, j'ai eu ma phase "ze veux être une maîtresse d'école" mais elle a duré trois jours tout au plus. Non, moi j'avais la méga classe, je voulais être comme Hubert Reeves, je voulais passer mes nuits dans des observatoires à chercher des nouvelles étoiles, à comprendre pourquoi ça faisait de la lumière, toussa toussa... Je pourrais passer mes journées à regarder des documentaires là-dessus, demandez-moi comment une étoile se transforme en trou noir, je suis incollable (avec mes mots hein ! je suis pas aussi balaise qu'Hubert ^^)

Actrice : ouais, bon là je suis pas fière... Trip égocentrique à un moment de ma vie où j'avais besoin de reconnaissance certainement... J'ai quand même fait un an de théâtre au lycée avant de laisser tomber, notre prof avait des idées... particulières (dirons-nous)

Pilote de ligne : trip Top Gun... J'ai le vertige en plus --' non franchement, je me demande où j'ai mis mon cerveau...

Et finalement, celui pour lequel j'ai fait des études : publicitaire ; au fond, j'aurais mieux fait d'apprendre le tricot ^^

samedi 16 juin 2007

C'est quoi la vie d'une célibataire de 21 ans ?

J'ai détesté pendant longtemps ma condition de célibataire : c'était pour moi une situation difficile à surmonter, j'aime être en couple, pouvoir aimer et être aimée. Du jour au lendemain, on se retrouve seul et on espère que ça ne durera pas. Après plus de 10 mois de célibat et des milliers de tentatives pour me trouver un homme meugnon tout plein et avec qui je puisse coexister quelques temps, je me dis que, finalement, on prend goût au célibat (enfin sur certains points :p).


  • Je peux enfin manger ce que je veux, sans faire attention à la sauce tomate qui coule, sans compter le nombre de calories dans cet immense hamburger, je peux m'affaler dans mon canapé devant un DVD en mangeant des macarons au chocolat taille XXL et boire des litres de vrai Coca (oublié le light !!)

  • Je peux me permettre de repousser au lendemain le rendez-vous avec l'esthéticienne pour mon débroussaillage mensuel, qui viendra vérifier en plein hiver si mes jambes sont aussi douces que du papier de verre ?

  • Je peux enfin appeler pendant des heures ma meilleure amie sans qu'un regard de Bambi ne me demande de raccrocher en pleine étude psychologique du dernier mec de cette garce de Kimber, et que dire des soirées "ragots et potins" !

  • Je peux pleurer devant Le Seigneur des Anneaux sans qu'une voix ragueuse dise que je suis trop sentimentale (désolée mais quand Théoden meurt et quand Aragorn s'agenouille devant les quatres Hobbits, moi je rentabilise ma boîte de 200 mouchoirs...)

  • Plus besoin de me lever une heure avant le réveil pour faire croire que je suis magnifique au saut du lit, vive les cernes, l'haleine de raton-laveur et les cheveux de Chewbacca

  • Je peux enfin danser comme une dégénérée et faire semblant d'être la reine du "dancefloor" sans qu'un rire gras et moqueur ne me replace dans la réalité... Maintenant, c'est musique à fond, brosse en guise de micro et chorégraphie à la Kamel Ouali (bon, si je suis objective, dans ce genre de situation, je ressemble plutôt à un poulpe qui tente de faire du smurf qu'à Beyoncé...)

  • Finies les engueulades parce que j'ai voulu voir ma mère pour lui demander la recette des pâtes à l'eau. Est-ce vraiment un supplice de venir dire bonjour à ma mère ?

  • Je n'ai plus à subir les ronflements qui font saigner les oreilles la nuit... C'est p'tet pour ça que je passe mon temps sur Internet, fallait bien que je m'occupe...

  • Je ne suis plus obligée de me coltiner les potes libidineux et visqueux de mon partenaire, finis les glandus affalés dans le canapé, finis les rires gras parce que mon "chéri" vient encore de faire une blague vaseuse à mon sujet (je ne sais pas changer une roue, en quoi est-ce hilarant ?)

  • Finies les chaussettes sales qui trainent partout, finis rots et autres sons corporels, finis les canettes de bière vides disséminées dans tout l'appartement... Je vais enfin pouvoir profiter d'un espace vital plus grand que la cuisine où j'étais réfugiée...

  • Et que dire du plaisir suprême de pouvoir mater sans avoir honte (ben quoi ? les femmes aussi ont des yeux et elles savent très bien s'en servir ^^)

Bon, j'enrichirais cet article avec le temps, pour l'instant, je sors...

jeudi 14 juin 2007

Cure de désintox

Parfois, je me demande si je ne suis pas dépendante... Pas un jour sans que, instinctivement, dès que je rentre du boulot, je presse la douce touche bleue de mon portable ; pas un jour ne se passe sans lui... Ca valse entre amour et haine. Je l'adore mon petit ordi, je le chouchoute, depuis que je me suis arrachée un bras pour pouvoir me l'offrir, on ne se quitte plus lui et moi, une tendre et sincère relation s'est nouée mais je crains que mon amour ne soit à sens unique...

Que de soirées passées à lui caresser le clavier, à le chérir, à lui trouver des amis sur Internet (mon iPod est son meilleur ami, à tel point que j'en suis jalouse), mais que de souffrances aussi... Combien de larmes ai-je versées quand il a rendu l'âme il y a un an, combien de médecins fous ai-je contactés pour lui sauver les puces ? Alors, je lui donne cent pour cent de mon temps et de mon énergie et en contrepartie je devrais subir ses moindres caprices ? Entre des petits bugs pour me rappeler de lui donner sa pâté et les déconnections intempestives, je ne tiens plus et j'ai peur, un jour, de lui faire avaler ma souris par le port USB... Oh, aidez-moiiiiiii !

J'ai vu à la télé, sur je-ne-sais-plus-quelle-chaîne, que l'on pouvait se faire soigner pour cette dépendance, enfin il semblerait que ce soit plutôt pour les joueurs en ligne invétérés (et pas invertébrés --') mais pas que, bien-entendu. Je me demande si je rentre dans cette catégorie de gens qui, lorsqu'il passe un weekend loin de toute technologie, craquent leur slip...
Prenez ma soeur, elle a connu tardivement les vicissitudes du média Internet. Elle y a gouté durant quelques mois à peine et déjà elle erre sans but : avec son déménagement, plus de connection... Bon, c'est pas non plus la mer à boire à la paille, j'ai survécu un an en ayant TF1 et M6 pour seule compagnie (o_O je sais... un conseil, après un long séjour comme celui-là, trois bons litres de collyre et 15 ou 20 cuites, vous commencez à oublier...)

Ce qui devrait être au fond un simple outil de recherche et de connaissances a fini par se révéler être tout autre chose. Quand je suis sur Internet, généralement, je poste sur mon blog, je cherche des vidéos pour me payer une bonne grosse tranche de fou rire, je surfe sur mes sites préférés, mais la majeure partie du temps, je ne fais absolument rien de constructif pour l'Humanité... parfois même, je m'ennuie... Heureusement qu'avec ma freebox, j'ai quelques chaînes intéressantes pour me détourner de mon ordi quelques heures sinon je crois que je me lobotomiserais le cerveau devant des inepties sans nom venues du fin fond de l'Ouzbékistan...

Je ne suis pas une geekette, ni une accro hystérique mais parfois je me dis que je devrais lever le pied, me bouger le cul de ma chaise et aller parler aux oiseaux...

dimanche 10 juin 2007

Je pourrais pardonner si j'avais des raisons pour le faire

Il y a de nombreuses personnes sur lesquelles je pourrais poser la main et dire "je te pardonne", parce que je suis comme ça, les erreurs du passé ne m'empêchent pas de vivre et il est toujours temps de dire à ceux qui nous ont offensé que tout est fini et pardonné (j'ai pas oublié mon catéchisme de quand j'étais petite ^^)
Ma mère m'a bien élevée, même si, comme tout le monde, il m'est arrivé de médire sur certaines personnes, j'ai toujours veillé à ce que celles-ci ne le sachent pas (lol ?) et n'ai jamais caché mes inimitiés (l'hypocrosie forcé ou sociale pour ne pas avoir à être seule en cours ou à la machine à café me donne des boutons). Je suis facile à vivre, même si j'ai le caractère d'un cochon mâle en rut, je respire toujours un grand coup pour ne pas dire de conneries ou des choses qui pourraient blesser ou générer des conflits internationaux. Malgré mon aversion pour les disputes, malgré mon dos rond à chaque tempête, certaines personnes me détestent. Elles ont leurs raisons et je ne dis rien là-dessus. Ce qui m'énerve un peu plus, c'est quand je n'ai jamais eu l'occasion de me défendre, je m'explique : j'aimerais bien en placer une dans une dispute pour pouvoir défendre mon point de vue, malheureusement les gens ont tendance à rabaisser les autres (ou juste moi allez savoir) et au final je n'ai jamais l'occasion de pouvoir expliquer le pourquoi de mes actes. Une autre chose (et c'est la pire je trouve), c'est quand vous êtes la victime d'une injustice flagrante et que c'est vous qui passez pour la garce de service, dans ce cas précis, même des gens que vous ne connaissez pas, vous crachent dessus, et au bout du compte vous êtes la petite fille d'Hitler aux yeux de gens qui ne savent pas à quoi vous ressemblez, ni même sur quoi porte le conflit (bizarre ? non quotidien...)
Mais bon, tout compte fait, je me fous complètement de ce que peuvent penser des gens au QI d'huître. J'ai une super vie en ce moment et mon petit bonheur égoïste me réjouit. Et puis la populasse oublie bien vite pourquoi elle crache...
En ce qui concerne ma famille, les disputes sont tellement régulières qu'au final, ça me passe au-dessus et que je ne pense qu'à ma propre survie (je sais, c'est horrible toussa toussa mais ma famille n'est pas celle de Charles Ingalls).
Enfin tout ça pour dire (parce que je sens que je m'éloigne du sujet ^^) que je pourrais pardonner à tous ceux qui m'en ont fait baver, je pourrais. Je retrouverais des amitiés que j'aimais vraiment même si elles n'étaient pas toutes roses, je retrouverais peut-être un équilibre familial. Il me suffirait d'appeler et de dire "je te pardonne" ou "on fait la paix, tout ça ne sert à rien"...
Mais rien ne me pousse à le faire parce que je n'ai plus aucune confiance dans le genre humain.

samedi 9 juin 2007

L'amour est-il aveugle ?

Que ce soit en amitié ou en amour, on est toujours un peu aveugle. C'est inimaginable tout ce que l'on peut faire pour celui ou celle que l'on aime. Mais, au final, pourquoi ? Plus on se met en quatre pour son petit choupinou d'amour, moins on a de chances de la garder près de soi. Ca sent le vécu... Effectivement, j'en ai fait des sacrifices parce que je pensais que l'amour que j'éprouvais était réciproque, maintenant, je me suis soignée ^^

Parce que l'amour c'est accepter tout chez l'autre, non ? Faire en sorte que votre chère et tendre moitié change totalement de mentalité et de personnalité, je doute que ce soit dans le manuel du parfait amoureux transi... Petit récapitulatif (en vrac) pour tous ceux qui auraient raté leurs cours de savoir-vivre amoureux.

  • On ne copule jamais avec quelqu'un d'autre que son ou sa fiancé(e), sinon : manque total de cervelle ou véritable sens du masochisme (une paire de talons aiguilles plantée dans le dos pour faute conjugale peut faire mal)

  • On offre des fleurs/chocolats/dîners en toutes occasions, pas la peine d'attendre d'avoir fait une connerie pour s'y mettre (en ce qui concerne la gente féminine, votre charme suffit amplement ^^)

  • On ne parle pas de ses ex, même s'ils ont une cervelle aussi grosse qu'un M&M's et des atouts tout aussi petits, cela peut générer des disputes à durée indéterminée

  • On prévient l'autre quand on rentre tard ou que l'on annule un rendez-vous... au fond, non, on ne rentre pas tard et on n'annule jamais un rendez-vous (votre karma risquerait de s'en prendre plein les dents)

  • On dit "je t'aime" plusieurs fois par semaine, on ne se contente pas d'un "j'te kiffe dans ton corps" juste après la copulation, non, on dit les mots magiques au bon moment

  • On fête l'anniversaire de l'autre le jour même, on prend ses dispositions à l'avance (réveil, post-it un peu partout, auto-email, greffe de cerveau...) et on offre un cadeau même si c'est dérisoire car il est évident qu'un oubli peut vous faire dormir sur le canapé pendant pas mal de temps

  • On se force pour apprécier la belle-famille, si si votre belle-maman est un ange et le fait qu'elle vous ait reproché dix mille fois de lui avoir volé son bébé d'amour ou qu'elle vous ait humilié devant son enfant chéri n'est en aucun cas une raison pour la maudire dès qu'elle est retourné auprès de son grizzli de mari

  • On partage les tâches ménagères, la vaisselle n'est pas le sport olympique préféré des femmes et l'aspirateur n'est pas un cadeau acceptable à Noël

  • On s'oblige à regarde TF1 quand la France joue contre le Brésil, on porte le maillot des Bleus, on ne s'endort pas, on pose des questions susceptibles de porter aux nues l'homme viril qui s'agite sur le canapé car il appréciera de vous faire partager ses connaissances sans limite, sa "passion" (il n'y joue pas, il a été opéré du genou étant petit --')
Il y a encore beaucoup de préceptes à respecter, mais les gens civilisés que vous êtes doivent être déjà bien rodés avec l'amour. Non ?

mercredi 6 juin 2007

Dis moi pas qu'c'est pas vrai ? oO

Horreur. Damnation. Le monde s'écroule. Les vaches se sont arrêtées de brouter, mon PC vient de bugger façon Tchernobyl en apprenant la nouvelle. On a touché à l'un des symboles de ma génération, ILS ONT OSE !!!!!

Rien ne me préparait au choc intergalactique que je viens de recevoir sur le coin de la couenne. Je glandouillais joyeusement sur Internet comme tous les soirs de la semaine (hummmm quel bonheur de se faire laver le cerveau) avec MTV en bruit de fond (j'ai une vie de folieeeee !). Les pubs arrivent et je pressens que je vais encore avoir droit au gros lot qui regroupe les sms surtaxés, les pubs pour la chaîne et j'en passe. Rares sont les spots pour les voitures. AAAaaaaahhhh ! Vous commencez à comprendre !

Hééééé ouiiiiiiiii ! Une publicité tout ce qu'il y a de plus normal avec tous les codes qu'elle contient (trifouillage des cerveaux des pauvres boeufs que nous sommes pour mieux nous vendre des tourniquets pour hamster, couleurs flashy, bande son entraînante que l'on s'empressera de chercher en format MP3 pour le mettre dans nos baladeurs hors prix que l'on aura bien-entendu achetés après le passage d'une pub du même genre), en gros un supositoire parfum eucalyptus.

Revenons-en aux faits. Je cliquais frénétiquement sur ma souris quand un son inconnu est parvenu jusqu'à mon oreille interne et, là, tel un lapin pris dans les phares d'une voiture et qui va bientôt finir en steak, j'ai relevé la tête d'un coup sec (hmmm les cervicales ont moyennement apprécié), je me suis retournée, un peu méfiante, l'oeil frisoulant, et c'est là que l'ampleur du désastre s'est faite à moi. Toute personne saine de corps et d'esprit, qui s'attache facilement aux objets qui l'entourent au quotidien, sera de mon avis : on ne touche pas aux traditions, ni aux symboles, ni aux grigris, ni même à ce bon vieux ours en peluche à qui il manque un oeil et deux ou trois membres. Alors que s'est-il passé chez Renault ?????? Je suis outrée, scandalisée, je suis meurtrie dans mon p'tit coeur :

ILS ONT OSE CHANGER LA TWINGO !!!

Elle était unique, avec un sex-appeal incomparable, une bouille qu'on reconnaît tout de suite. Bon, c'est sûr, c'est pas une Porshe, elle roule aussi vite qu'un escargot roulé en boule en haut d'une côte mais avouez qu'on l'aime tous ! Mais aujourd'hui (musique d'orgue lugubre), nous ne la verrons plus. Paix à son âme, j't'aimais bien ma p'tite Twingo... Tu reposeras au Panthéon des voitures générationnelles auxquelles on tient.


J'y crois

Je crois en l'Amour, je crois en cette force qui anime tous les êtres humains sur cette terre, qu'ils soient les plus exécrables ou les plus honnêtes des hommes. J'aime bien aller contre le courant, surtout en cette ère de répudiation des sentiments. Les femmes ont combattu bravement, à présent elles n'ont plus la même vie que nos arrières-grands-mères, mais à l'aube des années 2000 (millénaire de progrès et d'insousciance), il semblerait que l'on ait oublié que ce qui fait tourner le monde et qui est, finalement, la réponse à toutes les grandes questions existencielles qui nous font bien c**** depuis des siècles, l'Amour. Parce que, dans le fond, que fait-on sur terre si ce n'est pour donner la vie, la prendre pour survivre et se lier à d'autres vies ? Désolée mais pour ma part, on n'est pas ici pour glander ! Je veux me marier, je veux fonder une famille avec l'homme de ma vie. Je ne suis pas sûre que les âmes-soeurs existent mais je pense que l'on peut passer toute une vie à aimer un seul homme. Je suis un peu à l'inverse de mes camarades féminines d'aujourd'hui, car à voir les articles concernant l'Amour et le Couple, il semblerait que l'on prône la plus grande désinvolture. A savoir maintenant si ce sont les médias qui ont fait des sentiments une plaie béante qu'il faudrait purger ou si nous sommes à l'origine de ce rejet total de ce qui nous a fait naître...

Cet article sent bon le nutella chaud sur des crêpes, il sent le parfum de mon enfance, quand je pensais que mes parents s'aimaient et s'aimeraient toute leur vie. Même si j'ai bien compris que je risque d'être déçue par la Vie, qu'au final je risque de ne pas trouver celui qui partagera mon éternité, malgré toutes les emmerdes que j'ai vécu, que je vis, et que je vivrais, je crois toujours et encore plus fort en l'Amour, parce qu'il existe des êtres sur cette Terre qui me font penser que nous ne sommes pas perdus.

Les chats et moi

Un chat, c'est une boule de poils qui passe son temps entre les coussins du canapé et la cuisine où se trouve sa gamelle. N'attendez pas de votre chat qu'il vous témoigne de la gratitude pour toutes les croquettes que vous avez achetées depuis qu'il vous pourrit la vie, pas son genre non plus de rembourser la moquette hors de prix qu'il vient d'assassiner d'un coup de griffes.

Le chat ne sert fondamentalement à rien : entre dormir plus de 20h par jour et manger, il peut lui arriver de faire un peu de sport (si courir après une souris en plastique peut être considéré comme une activité sportive). Vous ne pourrez jamais lui apprendre à ramener le journal ou vos charentaises, il ne donne pas la patte et ne remue pas la queue de joie en vous voyant. Un chat n'est donc pas un hom... euh... un chien.

Il existe de rares cas où le chat peut avoir son utilité.

Comme coussin : en cas de surpoids chez votre félin, il est parfois appréciable de pouvoir reposer ses cervicales en fin de journée sur une source chaude et apaisante, le gras double de votre chat peut très bien faire l'affaire.

Comme aspirateur d'appoint : il est parfois bien difficile de passer sous les meubles avec nos aspirateurs et, même si on y arrive, il reste toujours de la poussière, le chat trouve donc ici une application.

Comme poubelle de table : bon, j'avoue que c'est gore de penser qu'un chat est une poubelle, mais quand on voit certains bestiaux atteindre des poids astronomiques, on se demande à quoi sont fourrées les croquettes, et finalement il est plus logique de croire que ce sont les maîtres qui les fournissent en substances illicites (frites, chocolat, couennes de jambon, peaux de poulets... que du bon gras des familles).

Comme lustre : l'incroyable capacité du chat à s'accrocher à tout et n'importe quoi (surtout à votre canapé tout neuf en poils de Yack cousu main qui vaut la peau des fesses, le chat a bon goût et aime faire ses griffes sur de la qualité) peut être utile si un lustre vous fait défaut. La méthode est simple, vous lancez votre futur lampadaire en l'air de telle façon qu'il s'accroche au plafond, une ampoule et un domino plus tard, vous pouvez à loisir jouer sadiquement à "jour - nuit".

Je dois avouer que le chat sait être drôle, bon, souvent à ses dépens vu qu'il n'a pas conscience des conneries qu'il fait. Entre celui qui court après un laser, celui qui a l'air d'être sous speed et celui qui essaie de battre le record du plus gros tour de bide, le choix reste très compliqué pour la médaille du plus con. Finalement, je ne me lasserai pas de les voir dans leurs délires !

Renouveau


Il y a certains moments dans la vie où le mieux, c'est d'ouvrir un nouveau chapitre, écrire un nouveau livre. Je crée donc ce petit bout de moi, un espace confiné pour mes brèves pensées, de furtives récréations. Profitons du temps qui nous est imparti !